6 mois aprés...

... ça va bien

Ppm00 me demande (et je l'en remercie énormément) s'il y a une vie après l'alcool et je vous répondrais : oh oui!!
Une chouette vie même...
La bouteille n'est pas totalement exclue de ma vie mais elle n'a plus le rôle principal! Le rôle principal c'est moi qui ai et le rôle secondaire c'est mon homme.
Oui je picole encore sûrement pas mal comparer à la majorité des gens et encore...
je me rend compte avec le recul qu'il y a énormémentde gens qui boivent! C'est triste mais c'est bien vrai...
Alors en effet presque tous les soir on se bois un apéro et même que des fois je  me bois un verre de vin à table et même que très occasionnellement je me bois un petit bourbon le soir (la bouteille à 6 mois et elle est au 3/4, en ayant offert un petit verre de ci de là)
Je ne me suis pas prise une murge depuis ce renouveau (en dehors su jours de la fête du village mais là personne n'y a échappé et encore j'étais vaillante pour aller à la messe et tenir la buvette tous le lendemain : comité des fêtes oblige)
je me sens plutôt bien dans ma tête, des fois j'en envie de boire plus, toujours, l'envie reste là, prête à resurgir au moindre coup de blues mais je ne cède pas ces jours là... Mais le plus souvent, je n'ai pas envie de boire plus que ce que je bois alors je ne me prive pas non plus.
J'attends de mettre un bébé en route pour ne plus boire une goutte, chaque chose en sont temps... ce sera pour mes 30 ans.. En, attendant, on ne pas se priver de tout non plus!

Comments

[Koulou]

y'a un cartouche lien vers mon profil dans la colonne de droite de mon blog alors. (oui, on est pas obligé d'y être, faut avoir une bonne raison en tous cas)

[Koulou]

Content de voir que tu es toujours "là"au passage.
Oui, de mon expérience, je crois que dire d'une dépendance qu'elle est physique ou psychologique est hasardeux. L'un ne va pas sans l'autre et vice versa. On ne devient pas dépendant d'un produit
juste à cause du seul produit. Si la dépendance peut devenir "physique" c'est parce que notre rapport à notre corps et à nos sensations physique le permet. Sinon, nous serions tous accros
automatiquement aux mêmes substances, et il n'y en aurait pas tant de variétés et de façon différente d'être accros.

Si jamais t'es sur fesse bouc au passage, je viens de m'y mettre sous l'appellation Auteur Bd Koulou. ;-) pour promouvoir ma série BD.

[Cybèle]

Ok , je note ton adresse FB mais attention, sur FB, Cybèle n'existe pas....


Je ne t'ai pas trouvée sur FB en tapant Auteur Bd Koulou dans la barre de recherche

[Koulou]

Ben oui, on a chacun "notre drogue" celle qu'on arrive pas à gérer. Moi par exemple, j'ai jamais eu aucun souci avec l'alcool ou le canabis. Seul le tabac avait le dessus sur ma raison ou ma
volonté. Et cette faille a ses raisons d'être. Quand on les démasques elles deviennent inopérantes.

[Cybèle]

C'est vrai! Ma mère c'est le sucre, ça agit comme une drogue sur elle, alors que le dépendance n'est pas physique, mais psychologiquement, c'est tres fort, très ancré! et elle n'arrive pas à s'en
defaire!

[Koulou]

on a ouvert une forum pour remplacer ceux que OB à fermés:

http://vosblogssurvivor.forumsactifs.com/

[Koulou]

J'ai été totalement accro au tabac durant 20 ans.(25 peut être même) et, j'ai arrêté souvent. Mais, ce n'était là que des répits passager avant que je ne replonge, parce que j'étais psychiquement
totalement addict au tabac. Or, la raison de cela n'était pas physionomique, ni sociale: elle était psychologique. J'ai fait une analyse pour d'autres raisons, qui, au bout d'un long moment, m'a
permise de découvrir les raison de mon addictions au tabac et donc d'y renoncer. Aujourd'hui, le ne me "retiens" plus de fumer, je n'en ai plus envie, ça ne m'intéresse plus. Parce que les
mécanismes qui me rendait le tabac si attractif; d'irrésistible ont été démonté.
Je pense qu'il en est de même pour toutes les addictions. Trouver la raison profonde de note fascination pour notre "produit" (tabac, alcool, jeu etc...) en saisir la puérilité, le détachement
s'ens uivra de lui-même. Et avec lui reviendra la vraie liberté.

A ce jour, je ne suis plus tenté de fumé, sans raison intellectuel, sans développer de "volonté" pour celà. Je ne suis plus jaloux de voir fumer les autres, je ne suis tout simplement plus
intéressé par ce processus.

Je suis évidemment convaincu que toutes les addictions fonctionnent de cette façon, si bien qu'il nous est à chacun évidemment possible de nous en libérer totalement. Avant cela, tout ce qu'on dit
sur l'alcool et le fait d'en être dépendant se produisait avec moi envers le tabac. Les processus sont bel et bien les mêmes.

[Cybèle]

Le tabac je gerais tres bien l'arrêt, l'alcool beaucoup moins on dira!